Tidiss Koné, un homme au service du livre. 1/2

  • Par Akina De Kouassi
  • 19 Fév. 2022
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Dans cet entretien qu'il a accordé à Djasso.com, l'artiste à plusieurs talents nous donne les grands axes de la future édition du festival international du livre et des arts du Denguele.


Commissaire Général du Festival International du Livre et des Arts du Denguélé, Tidiss Koné est un inconditionnel de la littérature qu'il enseigne avec passion. Dans cet entretien qu'il a accordé à Djasso.com, l'artiste à plusieurs talents nous donne les grands axes de la future édition du festival international du livre et des arts du Denguele.

 

DJASSO : Bonjour M.Tidiss KONE, présentez-vous à nos lecteurs et au monde culturel.

Tidiss KONE : Je suis Tidiss KONE, à l’état civil KONE BOUAKARI SIDIKI, originaire du District du Denguélé, de la région du Kabadougou, précisément du département d’Odienné, dans le nord-ouest de la Côte d’Ivoire. Je suis Enseignant de formation  et Ecrivain-Promoteur Culturel par amour pour la chose culturelle. J’ai à mon actif trois ouvrages (Au-delà des Barrières, La Fille aux Mille Couleurs et À qui la Faute ?) et suis auteur de quelques textes de ''Tourbillon de Mots pour SCA''. Je suis également le Président de l’ONG-Les Citoyens du Livre et des Arts du Denguélé et Commissaire Général du Festival du Livre et des Arts du Denguélé.

D: Tidiss KONE, selon nos sources d'informations, vous êtes Enseignant, Écrivain, Promoteur Culturel et aussi artiste chanteur, n'êtes-vous pas trop jeune pour avoir toutes ces cordes à votre arc? 

T.K : Vos sources d’informations sont fiables ! Justement, c’est étant jeune qu’on prépare le temps de la retraite.  Aujourd’hui, j’ai un peu de force pour faire bouger les lignes comme on peut avec nos maigres moyens, grâce à la bénédiction de Dieu, avec l’appui de certains ainés et du soutien inestimable de mes amis. Ceux-ci me motivent à mieux faire pour la promotion du Livre, des Arts et de la Culture. Chers, tous, soyez-en remerciés. Pour ces qualités artistiques, c’est auprès des devanciers du monde culturel que j’apprends, et dans un style propre à moi, je fais ce que je peux. C’est une mission assignée à moi par Dieu le miséricordieux, je ne peux que l’accomplir dans sa volonté.  J’aime la Culture et, sans complexe, je m’y plais malgré les épines sous chaque pas que nous faisons.

D: Comment se comportent vos œuvres sur le marché du Livre ?

T.K : En attendant Dilemme, Sublime Cadence ou le Cri du Silence, Les Façonnées, Les oiseaux sans plumes et les autres qui suivront celle déjà en cours d’édition, les premières se portent très bien.

D : Vous êtes aussi le Président d'une ONG, chargée de la Promotion du Livre, des Arts, de la culture et du patrimoine culturel africain et surtout celui de votre district, quelle vision avez-vous à travers ce projet ?

T.K : Notre projet est assez vaste concernant ce que nous voulons réellement pour notre district; entre autres, permettre que le festival devienne une richesse régionale soutenue par toutes les filles et fils du Denguélé, de la Côte d’Ivoire, de l’Afrique et du Monde, accompagner les initiatives de développement humain, participer activement à la promotion des arts et cultures, facteurs de rassemblement, base de la culture du civisme chez les jeunes.

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